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Elle serait née dans les arènes d'Arles vers 1402, mais la course camarguaise actuelle date plutôt du XIX siècle. Elle se pratique dans quatre départements du sud de la France (Gard, Vaucluse, Herault et Bouche-du-Rhône) . Aidés par des "tourneurs", chargés de bien orienter l'animal, le raseteur, vêtu de blanc et muni d'un crochet, doit enlever les attributs --cocarde, glands, ficelles-- fixés entre les cornes du taureau, appelé "cocardier". Pour éviter les "cornades", les raseteurs s'échappent en sautant par-dessus les palissades de bois rouge qui bordent l'arène et en s'accrochant aux gradins. C'est une tradition, cela peut être assez spectaculaire, mais le spectacle tout le monde rentre à la maison.











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